Il va falloir surprendre le public...ne pas écrire sous Ben ali
Tu peux te réveiller le matin avec une envie pressante de dormir, tout ce qui s'écrit par le présent dans ce pays devraient prendre cette tournure pour inauguration des temps
Ou peut être trimarder sous une pluie d’octobre dans une ville qui a oublié sa part blasphématoire, L'éveil
Tu peux te dire que dans de tels états de ville, aucune horloge ne saura dire oui, non ni ne vous attend et que seuls le nombre de pas pourrait se faire rythme.
Jamais la mer ne te rendra ta grossiéreté d'antan
Trois autres pas te séparent de ta ville, et des numéros du journal l' AUDACE qui datent de Mars, mais j'écris depuis Février…..tu auras droit à la musique officieuse du pays qui accentue la stase vacarmique qui t’entoure ... te lever et regarder les informations en langue Française d’après minuit et te rendre compte que le Français est une langue de Minuit...les coups de fils aux amants effarés de la Capital ne sont pas des histoires de minuit, contrairement au bulletin officiel.
Les arbres….tu les passeras …mais t’agenouiller peut-être, aucun massacre pour l'attente, ni de vert pour le vacarme, ville de retenu … "le fil de bonheur qui reste est méditerranéen",
Tu partiras vers un 19 février, ou peut être un 26 juin, en imaginant tes prochains 20 octobre et tes prochain 5 mai et ton prochain 29 septembre en commémorant ce que ce pays sait faire de l'attente à hauteur de ton premier théâtre e de marionettes,ton premier film au cinéma à trois ans ou tout simplement l'été…ce qu'il nous faut comme audace pour le temps.
Il va falloir surprendre le public...
Scénariste, perchman,épiloguiste......
A nous les temps